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Zone d'art http://g.roesz.free.fr Fri, 16 Nov 2012 13:39:01 +0000 hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.1.4 Germain Roesz http://g.roesz.free.fr/?p=1572 http://g.roesz.free.fr/?p=1572#comments Fri, 16 Nov 2012 12:03:36 +0000 editeur http://g.roesz.free.fr/?p=1572 Germain Rœsz est peintre. Il conjugue la pratique des arts plastiques, de la poésie et de la recherche théorique. Il est professeur (en théorie, pratique et sciences des arts) à l’université de Strasbourg. Nourri par ses recherches et sa quête poétique sa peinture trace un territoire entre rigueur et chaos, entre l’histoire de la peinture (toute) et l’approche contemporaine. Il tente, dans un esprit de cohérence, de saisir -dans la peinture- un espace qui est sa propre matrice, qui ouvre le monde. Une hétérogénéité voulue fait le don d’expériences renouvelées.

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Lieux-dits http://g.roesz.free.fr/?p=1327 http://g.roesz.free.fr/?p=1327#comments Fri, 11 May 2012 12:16:30 +0000 admin http://g.roesz.free.fr/?p=1327 Collection Contre Vers

Livre au format 21 x 14,8 à l’italienne. Reliure à la chinoise. Tirage sur papier vergé à 50 exemplaires numérotés et signés. Chaque exemplaire est accompagné d’une intervention originale. prix 18 € (une exception Live on page au prix de 20 euros)

  • Tourne Rond Germain Roesz 1995. épuisé
  • Mains Mains Sylvie Villaume 1996
  • Artichaut Didier Guth 1997
  • Rien ne vient Joël Leick 1997
  • Un poème par jour et à retardement Jean-François Robic 1997
  • Charles Baudelaire une suite Pierre Courtaud (intervention originale de G. Roesz) 1998
  • Aires, Ailes et Lignes Jean de Breyne 1998
  • Silence Silenzio Cozette de Charmoy 1998. épuisé
  • Pour ne pas mourir Patrick Dubost. 1999 (dessins Sylvie Villaume) réédition simple 10 €
  • Human bomb Hubert Saint-Eve. 1999
  • locations de vacance Jean-François Demeure 2000
  • passé décomposé Paul Schwartz et Jean-François Robic. 2000. épuisé
  • salade Sylvie Villaume,  collages de Bertrand Vivin. 2002.
  • photopoèmes Paul Schwartz et Jean-François Robic. 2002.
  • Datations Jean-Paul Gillet, photos aménagées Didier Guth. 2002.
  • loué laniol (fables de l’urinoir) Eric Laniol. 2002.
  • Vanité / Nichtigkeit Sylvie Villaume, 2003 (traduction allemande et dessins Gianfranco P. Figurelli)
  • live on Pages poëmes (imprimés),  accompagnés de Live on Stages poêmes (enregistrés),
  • Jean-Pierre Bobillot, 2004. 150 ex. accompagnés d’un original de Althuser, ou Beloeil, ou Brigaudiot, ou Charvolin, ou Flecniakoska, ou Gagean, ou Guth, ou Hess, ou Hetzel, ou Laniol, ou Mroczkowski, ou Reyes, ou Robic, ou Roesz, ou Villaume. cd offert. 20 €
  • Carnets de doute Et autres malentendus Anne-Marie Soulier, 2006 (dessins Germain Roesz

 

 

Collection Jour k Nuit

Livre au format 21 x 14,5 à la française. Tirage sur papier vergé, numéroté et signé. Reliure à la chinoise.

  • La chambre aux nuages Jacques Goorma 1997, 20 exemplaires de tête numérotés et signés, enrichis d’un manuscrit de l’auteur, 20€. réédition simple, 1999, 10 €
  • Le courage n’a pas de stigmate Marc Syren 1998. 20 exemplaires de tête numérotés et signés, enrichis d’un manuscrit de l’auteur. 20 €. réédition simple, 1999, 10 €
  • Trop Gaston Jung 1999. 300 ex. numérotés et signés. 10 €. 20 ex. de tête enrichis d’un manuscrit, 18€
  • Windstoss/coup de vent Félicitas Frischmuth/Bernard Vargaftig, 2001, 10€. 20 ex. de tête enrichis d’un manuscrit, 20€
  • Périple Gaston Jung, 2004. 150 ex. numérotés et signés. 12 €.

 

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Christiane Irmann http://g.roesz.free.fr/?p=1257 http://g.roesz.free.fr/?p=1257#comments Thu, 12 Apr 2012 10:19:15 +0000 admin http://g.roesz.free.fr/?p=1257 Page en construction

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Objets scéniques http://g.roesz.free.fr/?p=1068 http://g.roesz.free.fr/?p=1068#comments Tue, 10 Apr 2012 10:07:57 +0000 admin http://g.roesz.free.fr/?p=1068 L’objet scénique se déroule sur une scène, avec des acteurs costumés ; il peut être dansé, parlé, joué ; il contient de la musique, parfois des objets plastiques en guise d’accessoires. L’objet scénique ressemble tout autant à une intervention sculpturale qu’à une performance théâtrale. Sylvie Villaume y développe le concept de scène plastique : une façon de dire qu’elle n’oublie pas l’idée d’objet (plastique), de mouvement qui donne sens (vidéos et danse), la notion de collage (de matériaux différents). Elle est attentive au décalage du collage, qui rythme l’ensemble ; le décalage du collage est le lieu de l’humour, de l’ironie et des petits hommages, le lieu du sens multiple, la matrice des interprétations.

Ô vaches

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(2011. Création au Hall des Chars, Strasbourg. durée 1h05)

Ô VACHES est un objet scénique fondé sur une commande de « discours aux vaches », faite à Patrick Dubost, Didier Guth, Jean-François Robic, Germain Roesz, Sylvie Villaume. Les discours sont métaphoriques: ils utilisent la rhétorique du parler en public, propagent la rythmique du corps qui parle, se servent d’assonances poétiques, sont poésie sonore tour à tour sérieuse et saugrenue, sont rhétorique politique au deuxième degré, haranguent ou racontent … Une certaine absurdité du propos ouvre notre réflexion aux riches formes de la dictature et de la soumission.

  • Acteurs, Emmanuelle Zanfonato, Pierre Boileau.
  • Musique, Gaétan Gromer.
  • Vidéo (même scénographie que pour ailépouvantails), SV et Jérémy Couvez.
  • Costumes et mise en scène, SV.

]]> http://g.roesz.free.fr/?feed=rss2&p=1068 0 Elisabeth Frering http://g.roesz.free.fr/?p=1029 http://g.roesz.free.fr/?p=1029#comments Tue, 03 Apr 2012 16:28:31 +0000 admin http://g.roesz.free.fr/?p=1029 Un monde de formes

Un monde parfait. Tout est équilibre. Tangible. Eau limpide. Ligne d’horizon diaphane. La main de l’artiste ne tremble pas. La concentration est extrême. Le territoire est délimité. La destination est connue. Mais il y a bifurcation, hésitation, un moment suspendu. L’itinéraire n’est jamais flou, l’acte créatif est certain, et le cheminement devient autre, différent, empirique. Des instants suspendus, une relation au monde incongrue, surprenante qui dévore la pensée et les émotions. L’histoire de l’art est parcourue de conventions transgressées, de repères désaxés, de scènes champêtres malmenées, de dieux destitués, de mythes assassinés. Piero di Cosimo intègre dans de beaux paysages un bestiaire venu de nulle part. Mikhaïl Aleksandrovitch Vroubel destitue le dieu Pan de toute puissance. Dante Gabriel Rossetti enveloppe Monna Vanna d’une chevelure-fourrure protectrice. Joël Peter Witkind brutalise nos perceptions. A la croisée des chemins, l’artiste entre trop plein et vide, trompe-l’œil et vanité cherche l’improbable équilibre. De cette quête naît un monde de formes qui captive. A chaque regard de nouvelles strates se superposent, gagnant en épaisseur et en danger. La balance n’atteint jamais un point d’équilibre parfait. Ainsi, les subtiles oscillations des peintures et dessins d’Elisabeth Fréring nous interrogent brutalement derrière l’aspect calme et serein de la représentation.

La violence du labyrinthe

Cette stratification que suggèrent les dessins et peintures représente un territoire pulsionnel où ne parle plus qu’une sorte d’instinct : brutal, cathartique, élémentaire. Le dépeçage a lieu au-delà des apparences. Dans les méandres de la pensée, des émotions et bien au-delà au creuset de l’individu, au niveau des sensations. Alors la mise à mort de la conscience devient jubilatoire. Le corps n’est plus déjà qu’une partie d’un corps. La bête qui sommeillait s’est réveillée, et la vacuité de l’univers ou sa profondeur devient un plein, un trop plein. Jusqu’à quelles limites, l’horizon peut-il être repoussé pour rester cette ligne certaine ? Effet d’optique rassurant qui n’attend plus que sa transfiguration en territoire grégaire. A l’extrême limite de cette orgie hallucinatoire, il ne reste plus qu’une charogne en état de décomposition avancée. Ce n’est plus une réalité tangible. Le charognard guidant sa meute de loups, rats, ours, a définitivement réalisé la conquête de son territoire. Un terrain de jeu illimité. L’odeur est acre, le tumulte féroce, les mains atrophiées, le sexe ouvert, les pensées féroces, les émotions outragées, la chaire est mortelle. A l’extrême fin, dans les confins d’un monde violenté, méconnaissable, ahuri, subsiste une forme de rédemption. Dans le miroir, il est trop tard pour fuir. Le bruit et l’abîme ont ruiné les illusions, il reste la respiration sourde de la matière qui transpire, suinte, tombe en lambeaux. Celui qui regarde et fixe le dessin est maintenant de l’autre côté du miroir. Point de cruauté, juste la part « cachée » de toute réalité.

L’accomplissement

L’œuvre accomplit son destin. Elle restitue les dimensions desquelles personne ne peut s’échapper pleinement en réalité. Dans la confrontation aux dessins et aux tableaux, celui qui regarde ne ressort pas indemne. Fantasmes, obsessions, peurs irrationnelles, conquêtes vaniteuses, fleurs iridescentes prêtes à avaler une proie, les cartes sont abattues. Il n’y a pas de retour en arrière. Plus le regard se nourrit de ces expressions, plus l’être est dépecé. Plus l’être se réalise. L’élégance du paradoxe traduit bien la tentation mise en scène ici.

Gianni Cariani

]]> http://g.roesz.free.fr/?feed=rss2&p=1029 0 Pinto Sergio http://g.roesz.free.fr/?p=1001 http://g.roesz.free.fr/?p=1001#comments Tue, 03 Apr 2012 16:13:53 +0000 admin http://g.roesz.free.fr/?p=1001 Né en 1960 à Valparaiso (Chili). Il étudie à l’école des Beaux-arts de Valparaíso.

En 1982, il arrive en France. Mon travail consiste à trouver la beauté qui se cache derrière la matière.

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http://g.roesz.free.fr/?feed=rss2&p=1001 0
Sylvie Villaume http://g.roesz.free.fr/?p=761 http://g.roesz.free.fr/?p=761#comments Fri, 30 Mar 2012 15:20:45 +0000 admin http://g.roesz.free.fr/?p=761 Depuis plus de 25 ans mon travail plastique se développe, comme pour beaucoup d’autres artistes, sous forme de cycles. Les techniques utilisées sont variées et variables, en fonction des projets et de l’ouverture de mon terrain artistique (son devenir).

L’idée d’assemblage, ou de collage, est devenue évidente, persistante, tant dans les pièces graphiques, peintes, photographiques, vidéographiques, que dans les objets sculpturaux.

Une autre persistance est de faire ce que je ne sais pas faire ou, comme le dirait un entrepreneur, d’élargir mon champ d’investigation. Ne désirant ni être reconnue pour une habileté technique, ni réduire mon travail artistique à des données quelconques, chaque période et chaque projet apportent leurs découvertes et contraintes ; d’autant que je délègue fort peu la réalisation des objets.

La part de risque (tout artistique) est donc une donnée non négligeable. Cet état d’esprit m’a amenée à construire des objets scéniques interdisciplinaires où, indépendamment qu’ils soient interprétés par d’autres personnes (je n’ai pas de rôle « d’actrice »), je joue l’un après l’autre le rôle de conceptrice, puis de réalisatrice de costumes-objets, vidéaste et monteuse vidéo, scénographe, technicienne de surface et metteuse en scène [cf ¡défilez, tas d’os !, ailépouvantails et ô vaches].

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Jean-Louis Hess http://g.roesz.free.fr/?p=396 http://g.roesz.free.fr/?p=396#comments Fri, 23 Mar 2012 12:24:26 +0000 admin http://127.0.0.1/wordpress/?p=396 Jean-Louis Hess, photographe, professeur associé à l’Université de Strasbourg

né en 1953 à Oran, Algérie, vit et travaille à Strasbourg membre fondateur du Collectif Chambre à Part Innombrables expositions collectives et personnelles nombreuses publications collections publiques : Bibliothèque Nationale, Artothèque Strasbourg …
contact 06 33 71 66 78
courriel : jl.hess@wanadoo.fr

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http://g.roesz.free.fr/?feed=rss2&p=396 0
Gualtlero Dazzi http://g.roesz.free.fr/?p=372 http://g.roesz.free.fr/?p=372#comments Thu, 22 Mar 2012 18:34:49 +0000 admin http://127.0.0.1/wordpress/?p=372 Lauréat du Prix de Académie des Beaux Arts de l’Institut de France en 2009, du Prix du Studium de musique contemporaine de Toulouse en 1986, et du Prix de la Joven Orquesta Nacional de España en 1992, Gualtiero Dazzi nourrit son travail créatif d’une très grande diversité d’influences artistiques et culturelles et il cherche à situer son œuvre dans une perspective culturelle la plus ouverte possible.

Musicien cosmopolite, depuis sa petite enfance, Gualtiero Dazzi (né en 1960) connaît d’incessants déplacements qui l’ont amené à vivre d’abord entre Milan et Rome, ensuite Londres, Paris, Mexico, à nouveau Paris et pour terminer Strasbourg, où il réside depuis l’été 2001.

Pendant sa période de formation, il a côtoyé des personnalités très différentes du monde musical, tel Luigi Nono, Franco Donatoni, Brian Ferneyhough, Tristan Murail, Laurent Petitgirard, Ivanka Soïanova et Daniel Charles. Ces rencontres ont été le plus souvent transitoires car sa nature essentiellement indépendante l’a toujours inexorablement poussé sur un chemin solitaire, loin de toute appartenance et tout refuge idéologique réducteur.

Ne privilégiant aucun médium, il compose des œuvres de musique instrumentale, vocale, de théâtre musical, des opéras, des musiques électroniques, se confronte avec d’autres disciplines artistiques, avec des pratiques musicales liées à l’oralité, aux musiques expérimentales…

Les projets de résidence, incluant des jeunes musiciens ou des jeunes artistes, faisant appel tant à des musiciens professionnels qu’à des élèves ou des amateurs, représentent un aspect très important du travail de Gualtiero Dazzi, et questionnent toujours sans concession la place de l’artiste dans le monde qui l’entoure.

extrait du 4 mouvement de Klage (1998) (durée 7’38″)

pour soprano, choeur de femmes et ensemble commande de Radio France

Françoise Kubler (soprano)

Armand Angster (clarinette)

Jeune femmes de la Maîtrise de Radio France

direction Toni Ramon

enregistrement de Radio France au Festival Présences 1999

extrait de …en bordure d’espaces… (2001)

ensemble musiques nouvelles de Liège

Art Zoyd

direction Jean Paul Dessy

extrait d’un cd que l’on peut trouver ici: http://subrosa.itcmedia.net/en/catalogue/unclassical/experience-de-vol.html

Deuxième mouvement de d’un seul cri au dedans de lui-même (2005) (durée 4’56″)

pour Choeur et trois instruments

Le cris de Paris ensemble 2e2m

direction Geoffroy Jourdain

Cette oeuvre était crée dans le cadre de Rothko Chapel Project : un hommage au peintre Mark Rothko incluant Rothko Chapel de Morton Feldman Production Traces représentations à Strasbourg, Bâle, Mulhouse et Paris

Extrait de la dernière partie de: La Rosa de Ariadna (1988/95)

tragédie musicale sur un poème de Francisco Serrano

commande de l’Etat

Ian Honeyman Minotaure

Susanna Moncayo Ariadna

Nouvel Ensemble Vocal direction Henri Farge

L’itinéraire

Direction musicale Aldo Brizzi

Création Festival Musica 1995, dans la mise en scène de Stéphane Braunschweig

trouver le cd : http://www.petals.org/Petal006.html

]]> http://g.roesz.free.fr/?feed=rss2&p=372 0 Marie Engelmann http://g.roesz.free.fr/?p=356 http://g.roesz.free.fr/?p=356#comments Wed, 14 Mar 2012 17:46:14 +0000 admin http://127.0.0.1/wordpress/?p=356 Force, trace, structure, matière, tant de mots en connexion avec les œuvres de Marie Pascale.

L’importance de s’encrer dans une base solide, dans des lignes directrices si présentes qu’elles en deviennent les motifs principaux de chaque toile. Marie Pascale joue des matières, de la rencontre des pigments avec le sable et le ciment, observe et analyse les résultats, avance, expérimente et s’aventure aujourd’hui vers des bichromies, des polyptiques, des séries, avec toujours ce même esprit combatif et structuré.

Paradoxalement, ses toiles apaisent et nous amènent vers des sentiments inexplorés, des traces-empreintes enfouies, desquelles se dégage cette impression inexplicable de force et de sérénité. N’est-ce donc pas à travers ce paradoxe que l’on identifie sa signature? Force et douceur. Des essais sur d’autres supports, œuvres sur papier, sur carton, enduits, ajouts… de nouvelles associations de tonalités brutes mais toujours ce besoin rassurant des sombres. Et ça et là, en ligne séparatrice ou en motif, le noir et le rouge, toujours…

Les axes graphiques, les surfaces grattées et les motifs posés se fondent les uns aux autres comme si de nature primitive, ses toiles nous portaient à un retour aux sources identifiable. Les expériences de Marie-Pascale, ses références et ses inspirations, concentrées aujourd’hui dans une nouvelle main, et indissociables de sa motivation première : faire plaisir en se faisant plaisir.

Julie GAUDIN

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